Recherche-action

Pour l’Âne Rosse ,la recherche-action est une forme de respiration: au fur et à mesure que nous agissons, nous apprenons et par la même , dans ce que nous apprenons, nous cherchons à en comprendre plus sur nous mêmes. La recherche-action est en ce sens au centre de notre projet associatif, en lien fort à l’andragogie et à l’auto-formation. Du coup l’Âne Rose évolue dans le temps et par rapport à ses propres sujets. Ce qui donne à l’Âne Rose cette forme évolutive surprenante et dont l’idée de transversalité situe bien le caractère , c’est que nous n’avons jamais de lauriers sur lesquelles nous nous reposerions. L’Âne Rose est elle même en « recherche_action »depuis sa fondation!

Oui l’Âne rose est en recherche et constitue un mode social originalde liens entre les personnes, les projets, qu’ils soient associatifs ou personnels.
C’est « la dimension recherche action » qui anime l’Âne rose.Aujourd’hui si un formateur, une thérapeute, une spécialiste des starts-up, un architecte et une safranière psychologue sont ensemble à l’Âne Rose ,en pilotage du projet 2017 , c’est que l’Âne Rose a cette possibilité évolutive qui lui permet d’aborder la transversalité et une complémentarité des approches.

Mais ce n’est pas la seule raison: l’Âne rose est aussi composé de personnalités qui, toutes , recherchent de nouvelles modalités pour s’assurer de modes d’être ensemble basés sur un collectif entraidant et respectueux des personnes, sans être ni envahissant ni pourtant, indifférent: en quelque sorte l’Âne Rose lui même constitue une recette safranée évolutive pour être ensemble , tout en restant chacun soi et bien chez soi

Une synthèse, en somme de la culture humaniste et sociale , très loin des polémiques et des attitudes de rejet à priori, puisque l’Âne rose est avant tout un moyen de chercher ensemble la recette et de ne pas prétendre la connaitre une fois pour toutes….

C’est en quoi l’Âne Rose reste attaché au concept d’empathie, développé notamment par Carl Rogers. Ce concept nous permet de nous en tenir à une ligne lorsque nous accompagnons les personnes et leurs projets: ne pas dépasser ce qu’ils veulent en voulant à leurs places, mais les accompagner dans la recherche de ce qu’ils veulent eux-mêmes. L’empathie devient alors une forme relationnelle par laquelle ce qui fait le cœur de nos rêves se transforme, au rythme de chacun, en un projet réalisable